La violence physique figure en tête de liste avec 42% du total, explique le rapport. Elle est suivie par la violence psychologique (30%), ensuite la violence économique (18%) et la violence sexuelle (10%).
La violence subie par les femmes concerne toutes les tranches d’âge, néanmoins, les femmes âgées de moins de 50% sont confrontées à plus de violence avec un pourcentage de 88%, explique le document.
L’on relève 7.695 cas de violence entraînant une incapacité de moins de 20 jours, 4.257 cas de négligence familiale, 2.764 cas de menace, 2.666 cas d’injure et de diffamation, 1.166 cas d’expulsion du domicile conjugal et d’autres crimes encore. Les chiffres et données fournis par le Ministère public sont poignants, d’autant plus que 49.92% du total des personnes poursuivies dans les cas de violence sont des époux, suivis par des personnes n’entretenant aucune relation avec la victime, soit un pourcentage de 45%.
Malgré le fait que les époux se taillent la première place dans les affaires de violence, la majorité des crimes les plus graves reste néanmoins le fait d’étrangers à la victime, précise le rapport, tandis que les délits commis par les proches ne dépassent pas les 9%, majoritairement commis par le fiancé de la victime.
Dans le même sillage, le rapport explique que les crimes commis par les époux sont principalement catégorisés parmi les délits, étant donné que 50% des délits commis à l’encontre des femmes sont imputables aux époux, notamment les violences ayant entraîné une incapacité de moins de 20 jours, la négligence familiale et l’expulsion du foyer conjugal.
Il convient de noter que la majorité des femmes victimes de violence en 2021, sont titulaires d’une nationalité marocaine dans un pourcentage de 99.7% et seulement 0.9% ont d’autres nationalités.
La violence subie par les femmes concerne toutes les tranches d’âge, néanmoins, les femmes âgées de moins de 50% sont confrontées à plus de violence avec un pourcentage de 88%, explique le document.
L’on relève 7.695 cas de violence entraînant une incapacité de moins de 20 jours, 4.257 cas de négligence familiale, 2.764 cas de menace, 2.666 cas d’injure et de diffamation, 1.166 cas d’expulsion du domicile conjugal et d’autres crimes encore. Les chiffres et données fournis par le Ministère public sont poignants, d’autant plus que 49.92% du total des personnes poursuivies dans les cas de violence sont des époux, suivis par des personnes n’entretenant aucune relation avec la victime, soit un pourcentage de 45%.
Malgré le fait que les époux se taillent la première place dans les affaires de violence, la majorité des crimes les plus graves reste néanmoins le fait d’étrangers à la victime, précise le rapport, tandis que les délits commis par les proches ne dépassent pas les 9%, majoritairement commis par le fiancé de la victime.
Dans le même sillage, le rapport explique que les crimes commis par les époux sont principalement catégorisés parmi les délits, étant donné que 50% des délits commis à l’encontre des femmes sont imputables aux époux, notamment les violences ayant entraîné une incapacité de moins de 20 jours, la négligence familiale et l’expulsion du foyer conjugal.
Il convient de noter que la majorité des femmes victimes de violence en 2021, sont titulaires d’une nationalité marocaine dans un pourcentage de 99.7% et seulement 0.9% ont d’autres nationalités.
